Le milieu associatif a un besoin indéniable de s’étendre, accroître ses contacts et interagir avec toutes les composantes de la société pour pouvoir survivre . Les associations ont donc tendance à collaborer entre elles pour un projet, un événement et à entretenir des relations amicales et techniques.
Afin de sortir de l’isolement, être mieux informé et avoir un plus grand pouvoir décisionnel, les associations ont tendance à créer des réseaux.
Qu’est ce donc qu’un réseau d’associations ? Et pourquoi votre association devrait intégrer un réseau ?
Un réseau se crée entre 2 ou plusieurs associations et vit autour d’un but commun, un système de valeurs, des partenaires, des projets etc.
Même s’il reste assez compliqué de définir précisément ce qu’est un réseau d’associations, on peut dire qu’un réseau n’est pas un simple groupe d’individu, ce n’est pas non plus une équipe d’un projet , Il n’existe pas non plus de chef de réseau .
Le réseau se distingue également d’autres formes d’organisations comme les comités, les ordres (ordre d’avocats, de médecins etc.) , les groupes de travail et les task forces.
Les réseaux d’associations se créent généralement quand des structures plus simples sont inadéquates notamment lorsque l’on doit atteindre des objectifs complexes à gérer.
Il y’a deux types de réseaux:
les réseaux informels
les réseaux structurés et formalisés ; Ces derniers se constituent légalement en associations
Dans le monde, on assiste à une forte tendance de réseaux associatifs , ce qui reste très rare en Tunisie malgré les nombreux bénéfices que cela peut apporter aux associations. Pourquoi donc s’organiser en réseau ?
Echange de connaissances:
L’un des premiers bénéfices des réseaux est l’échange de savoir-faire. Pour les associations naissantes, il est conseillé de solliciter les associations existantes afin de développer leur savoir-faire et améliorer leurs statuts ou leurs règlements intérieurs .
Appartenir à un réseau c’est avoir accès également à toute l’information concernant le champ de ses activités, et la vie associative de manière générale .
Une fois organisée, cette association pourra à son tour affiner les compétences d’autres associations.
L’échange de savoir-faire est particulièrement profitable pour les structures qui travaillent dans des domaines très similaires car en développant ensemble leurs savoirs techniques (informatique comptabilité, droit , obligations etc.), ils arriveront plus rapidement à obtenir des résultats probants.
Développement de projets consistants:
L’autre point fort des réseaux est le développement de projets, car en mettant leurs compétences en commun , les associations peuvent arriver à optimiser leurs projets en mobilisant un plus grand nombre de personnes et en bénéficiant de supports de communication communs diffusés à l’échelle régionale, ou même nationale.
Un plus grand pouvoir décisionnel :
Quelque soit leurs domaines d’activités, les associations ont un nombre de valeurs en commun : transition démocratique, construction de projets sociaux , éducation … C’est pour défendre ces valeurs, être plus visibles et mieux écoutées et devenir une force de proposition que les associations se réunissent en coordination. En effet les réseaux ont un plus grand pouvoir d’action et un pouvoir décisionnel auprès des pouvoirs publics , être dans un réseau peut même rendre légitime vos demandes.
En somme , parler d’une seule voix peut faire avancer plus rapidement des revendications et défendre plus facilement les intérêts de chacun.
Dans les prochains articles nous verrons comment on peut intégrer ou créer un réseau d’associations en Tunisie et comment veiller à l’organisation et au dynamisme du réseau.
Stuart H. Britt, célèbre historien et activiste américain disait que “Pour une entreprise, ne pas réaliser de publicité c’est comme faire de l’œil à une fille dans le noir, vous savez ce que vous faites mais personne d’autre ne le sait ”
Et bien c’est exactement la même chose pour les associations. Pour réussir vos projets et surtout vos événements il vous faut impérativement attirer votre cible et l’un des outils les plus commun pour parler de vous sont bien les affiches.
Ca sera donc notre sujet de discussion aujourd’hui !
Une affiche, c’est beau, simple, ludique et quand c’est bien fait ca peut faire beaucoup d’impact et vous menez sans grand effort à votre but.
L’affiche est un outil de communication visuelle, et non textuelle , elle est souvent regardée mais rarement lue, le but est donc d’exposer un sujet d’une façon synthétique et attrayante pour arriver à attirer l’attention (par la forme) et à la retenir (par le fond), en livrant un message clair, informatif ou explicatif.
Votre affiche doit être :
Attractive: attirer l’attention.
Structurée :pour favoriser la lecture.
Concise: pour axer la lecture la communication sur le message.
Pour y arriver voici quelques points à ne pas négliger:
Le fond:
1.Les informations
Si vous voulez communiquer sur un événement , il ne faut oublier aucune information.
Dans la communication , l’astuce est d’appliquer la règle des 6 W+1 (Who, What, Why,When, Where, To whom,How) ,à la sauce tunisienne ça donne :
Chkoun ?: Qui est l’association qui communique.
Chnowa?: Quel est l’objet de l’affiche ? un événement, un concert , un débat , une foire etc.
3aléch ?: Quels sont les objectifs de l’affiche ?
Wa9tech ?: A quelle date / heure aura lieu l’événement ?
Win ?: A quel endroit ?
Li Chkoun? : Quel est le public concerné par votre manifestation ?
Kifech ? : Mentionner les contacts précis afin d’avoir plus de renseignements ?
Vous n’avez pas besoin de surcharger votre affiche avec plus de texte .Ces informations permettent de faire le tour de votre événement .
Vous pouvez cela dit apporter une exception à cette règle , omettre quelques informations ou en rajouter selon vos besoins comme le démontre cette affiche.
2 – Le titre
Etant la première chose qui va retenir l’attention , le titre est l’élément à ne pas rater , un titre du genre “coucours de…” ou “journée pour …” n’attire pas du monde. Vous devez trouver la formule pour donner envie au lecteur d’aller plus loin.
“les mots tuent les guerres”
Dans ces deux affiches le message est clair, concis et surtout percutant.
Avouez que des messages comme “Venez découvrir notre beau pays” ou “Journée de débat pour la paix” auraient été beaucoup moins pertinents , vous devez avoir la même logique concernant vos propres affiches.
3 – Le contexte:
Le contexte doit encore une fois être résumé , l’affiche n’est pas l’endroit où il faut mettre un contexte théorique dense (chose que vous pourrez montrer aux plus intéressés dans un document à part), utilisez donc un style télégraphique beaucoup plus rapide à lire.
4 – Ce que vous attendez du lecteur
C’est le but ultime de l’affiche, guidez votre lecteur vers le résultat . Ne le faites pas devinez, expliquez clairement ce que vous attendez de lui.
1. Faire un don sans débourser un centime sur goodeed.me
Goodeed est l’idée assez géniale de 3 étudiants français de 17 ans qui ont crée un site internet où il est possible d’effectuer des dons de vaccins, de sachets de riz ou bien d’arbres, gratuitement!
Le processus est assez simple: Vous entrez sur le site de goodeed.me , vous choisissez votre don, puis regardez un spot publicitaire de 2 minutes. L’argent généré par la pub finance le don choisi qui est ensuite pris en charge par une association compétente.
2.L’artiste qui donne un visage à la guerre
JR est un artiste français issu du milieu du street art, ses photographies touchent souvent à des sujets sensibles, comme le conflit israélo-palestinien ou la condition des femmes.
Avec l’aide d’autres artistes du Pakistan, il a disposé un poster géant dans un champ d’une région régulièrement visée par des drones au Pakistan où il montre la photo d’une enfant anonyme.
C’est le début d’un projet intitulé «Not a Bug Splat» littéralement “ce n’est pas un insecte que vous écrasez” qui affichera d’autres photographies.
JR pense qu’ainsi, ceux qui utilisent des drones réaliseront «qu’ils peuvent tuer un enfant».
En 17 heures, la photographie du poster, publiée sur son compte Instagram, avait déjà été «likée» plus de 10.500 fois. Sur Twitter aussi, le nombre de tweet portant le hashtag #notabugsplat a battu des records .
3.La fausse-publicité qui donne à réfléchir
Business in the Community est une organisation à but non lucratif qui encourage l’entrepreneuriat responsable et la responsabilité sociétale des entreprises (RSE).
Pour leur nouvelle campagne de sensibilisation contre la discrimination faites aux ex-criminels, sortis de prisions, dans le milieu du travail , l’organisme a produit un film interactif qui montre un délinquant postulant pour un emploi, à travers les yeux d’un employeur.
Le spectateur peut cliquer sur un bouton “sauter annonce” mais à chaque fois que celui-ci est pressé le demandeur d’emploi s’angoisse et fini par perdre tout ses moyens.
La vidéo met en évidence la façon dont les employeurs discriminent les ex-détenus et rendent leur réinsertion sociale très compliquée.
[youtube v=rPh9eQlZOmY]
4.Surfer sur la vague des “Selfies”
Dans le cadre d’une nouvelle campagne, le WWF Danemark diffuse sur le réseau social SnapChat des “selfies” d’animaux en voie de disparition.
L’ONG a décidé de collaborer avec SnapChat, un réseau populaire, notamment auprès des jeunes, qui permet de diffuser des photos de façon “éphémère”, celles-ci disparaissant après quelques secondes.
Le WWF diffuse ainsi des photos ou “selfies” d’animaux en voie d’extinction, accompagnées du slogan “Don’t let this be my #lastselfie” (Faites que ce ne soit pas mon dernier “selfie”), disparaissant au bout de 10 secondes.
Les photos mettent de l’avant différentes espèces menacées, dont les pandas, les tigres, les gorilles et les ours polaires. La campagne vise à sensibiliser la population, notamment les jeunes, à différents problèmes tels que le braconnage, la déforestation et les changements climatiques, qui entraînent la disparition ou réduisent l’espérance de vie de ces espèces.
Tunisie, 15 janvier 2011,un sentiment inouï de liberté et de solidarité flotte dans l’air. Le pays est à rebâtir, le peuple est debout prêt a affronter son destin et redresser ses piliers.
Le remaniement peut enfin commencer!
Ce grand mouvement patriotique donne, entre autre, naissance à plus de 4609 nouvelles association, et ce dans de nombreux domaines ; philanthropique, sportif, culturel, éducatif etc.
Un nouveau cadre législatif pour les associations est établi; le décret loi n° 88 du 24 novembre 2011. Ce nouveau décret permet aux associations de travailler dans un climat de liberté, de transparence, sans procédure d’autorisations et d’agrément préalable.Oui mais voila, en rompant totalement avec la loi de 1959, il a laissé plusieurs associations dans le flou.
Ainsi de nombreux acteurs de la vie associative ignorent tout du nouveau cadre juridique, fiscal et comptable des associations en Tunisie.
Cet articles vise à dissiper le brouillard autour de ces questions et aider les associations à assurer leur pérennité en ayant une bonne organisation.
1.Le cadre juridique
sans procédure d’autorisation préalable , Le décret-loi n°2011-88 garantit la libre constitution des associations
L’association doit être constituée de personnes physiques de nationalité tunisienne ou résidentes en Tunisie et âgé d’au moins treize (13) ans.
Elle stipule la création de statuts ayant les mentions obligatoires suivantes :
– Le nom officiel de l’association en langue arabe et en langue étrangère, le cas échéant.
– L’adresse du siège officiel de l’association.
– Les objectifs de l’association et des moyens pour les atteindre.
– Les conditions d’adhésion, les cas de révocation et les droits et obligations des membres.
– Un organigramme de l’association, du mécanisme des élections et des prérogatives de chacun de ces organes.
– La désignation, au sein de l’association, de l’organe disposant des prérogatives de modifier le règlement intérieur, d’en décider la dissolution, la fusion ou la scission.
– La désignation du mode de prise des décisions et les mécanismes de règlement des conflits.
– Le montant de la cotisation mensuelle ou annuelle, le cas échéant.
– Les procédures régissant la suspension des activités, la dissolution et la liquidation de l’association.
Un huissier de justice certifie le contenu du dossier puis rédige un procès verbal qu’il délivre au représentant de l’association en cours de constitution. Un courrier est ensuite adressé par lettre recommandé avec accusé de réception au Secrétaire Général du gouvernement.
Après avoir reçu l’accusé de réception, ou passé 30 jours sans réponse, le représentant de l’association doit procéder à la publicité légale de la constitution à l’Imprimerie Officielle de la République Tunisienne, dans laquelle il énonce le nom de l’association, son objet, son but et son siège.
L’association n’acquiert la personnalité morale qu’à partir de la date de publication dans le Journal Officiel tunisien.
Pour les associations étrangères, le décret-loi contient des dispositions particulières relatives à la constitution. la déclaration de création doit comporter :
– le nom de l’association.
– l’adresse de son siège social en Tunisie.
– la présentation des activités qu’elle souhaite mettre en œuvre en Tunisie.
– les noms et adresses des responsables de la section.
– une photocopie de la carte d’identité des responsables tunisiens et une photocopie de
la carte de séjour des responsables étrangers.
– deux exemplaires des statuts signés.
– un document officiel prouvant que l’association étrangère mère est bien établie dans le pays d’origine.
Il convient de rédiger un règlement intérieur pour l’association qui règle la gestion administrative, la date de clôture de l’exercice annuel, les organes de décision, les relations entre les membres et de façon générale toutes les questions d’ordre pratique qui n’ont pas à figurer au niveau des statuts.
A titre indicatif, le règlement intérieur stipule également:
– Les modalités d’adhésion à l’association.
– Les conditions, obligations, catégories des membres et les cas de perte de la qualité de membre.
– Les modalités d’élection du comité directeur et de son bureau, les moyens de comblement des vacances ainsi que leurs prérogatives.
– Les méthodes de la gestion financière.
– Les modalités de la constitution des associations affiliées.
– Les règles d’accès des aux informations concernant l’Association.
– Les règles d’adoption des décisions disciplinaires.
– L’association a le droit d’agir en justice, le droit à la propriété et le droit de gérer ses ressources et ses avoirs. Elle peut également recevoir toutes formes d’aides, de subventions, de dons et de legs.
Elle a le droit de posséder des biens immobiliers pour son siège et ses filiales, pour la réunion de ses membres ou pour la réalisation de ses objectifs conformément à la loi. Elle a le droit de céder tout immeuble qui ne sert plus à la réalisation de ses objectifs conformément à la loi.
Le prix du bien est une ressource pour l’association. Elle peut se constituer partie civile, ou ester en justice pour les actes qui rentrent dans le cadre de son objet et de ses objectifs définis dans ses statuts, pour elle-même ou en tant que représentante de personnes concernées, et ce, en vertu d’une autorisation expresse écrite.
En revanche, les fondateurs, les dirigeants, les salariés de l’association ainsi que ses adhérents ne sont pas responsables personnellement des obligations juridiques de l’Association. Les créanciers de l’Association n’ont pas le droit de poursuivre le recouvrement de leurs créances sur les biens personnels de ces personnes.
Notons enfin que le décret-loi consacre la notion innovante de réseau d’associations. En effet, l’association a le droit d’adhérer à un réseau d’associations, ou de créer un réseau d’associations, et ce, en vertu d’une décision de l’assemblée générale ordinaire.
Depuis les années 1960-70, la vie associative des tunisiens à l’étranger se divise en 3 axes principaux:
• les regroupements communautaires.
• les amicales.
• les associations autonomes.
D’après les données publiées par l’office des Tunisiens à l’étranger (OTC) en 2011, il y’aurait plus de 154 associations de tunisiens nés à l’étranger.
• 65 en France.
• 25 en Italie.
• 16 en Belgique.
• 8 en Allemagne.
• 8 en Suisse.
• 7 en Autriche.
Ces chiffres ne sont malheureusement pas très fiables étant donné leur ancienneté et leur manque de précisions. C’est pour cela que cet article ne cherche pas à retracer l’histoire exacte de ces associations mais tend plutôt à décrypter rapidement leur émergence et le contexte de leur création.
Les bourgeons de vie associative tunisienne à l’étranger ont vu le jour durant une série d’expériences associatives comme L’Etoile Nord Africaine (ENA) qui a regroupé les travailleurs maghrébins en France ou encore l’association des étudiants musulmans nord-africains (AEMNA) fondée à Paris le 28 décembre 1927 et présidée par le docteur Salem Es-Chadly, premier psychiatre tunisien.
Mais c’est en juillet 1952 à Paris que la première association tunisienne à l’étranger se constitua. A cette époque, dans un contexte d’importantes activités du mouvement national pour l’indépendance, l’UGET (Union générale des étudiants de Tunisie) fut fondée sur le sol français.
En 1970 et 1980, la répression installée en Tunisie contre la gauche et le mouvement étudiant enclencha le début d’un rassemblement entre les exilés politiques, les étudiants et les travailleurs immigrés tunisiens.
En 1978 va naître le Collectif du 26 janvier ainsi que le comité de soutien au comité national d’initiative qui publie le journal clandestin syndical « Echaab ».
En 1979 parut l’association ATEL (les Amis de la Tunisie En Lutte).
En 1973-74, on assistera surtout à l’émergence d’associations qui visent à regrouper des Tunisien nés à l’étranger. Ce fut le cas pour la plupart des nationalités et/ou communautés de migrants à cette époque (marocains, algériens, africains, portugais, espagnols, pakistanais, antillais …).
Aujourd’hui, les associations de tunisiens à l’étranger sont pour la plus part apolitiques et visent surtout à améliorer la vie sociale, estudiantine ou culturelle personnes vivant à l’étranger , vous trouver ci-dessous une liste non exhaustive des associations nées à l’étranger les plus importantes.
Association des Chercheurs et Enseignants Tunisiens En France (ACETEF)
L’ACETEF, créé le 8 Février 1992 à Paris, regroupe plus d’une centaine de Tunisiens, appartenant aux établissements de recherche et aux grandes écoles en France et exerçant toutes les disciplines, des sciences physiques aux sciences humaines.
• Fondateur: Fakhereddine BEN HAMIDA
• Président : Abdelaziz CHIKHAOUI
• Secrétaire général : Kacem ZELLAMA
• Trésorière : Dalila DARMOUL
• Site web: www.acetef.org
• E-mail: contact@acetef.org
Association des Tunisiens en France de Paris (ATF-Paris)
Créée en 1987, l’ATF Paris s’intéresse à tout ce qui touche l’immigration en général et aux questions qui concernent l’immigration tunisienne. Elle agit pour informer, orienter et défendre les Tunisiens à l’étranger sur les questions relatives à leurs droits et devoirs et intervient aussi pour favoriser le dialogue et l’échange interculturel.
• Site web : www.atf-paris.fr
• E-Mail : atf.paris@laposte.net
Association « Tunaction »
Tunaction est une association humanitaire à but non lucratif, apolitique. Elle est déclarée à Paris.
• Président : Farouk BEN SALAH
• Secrétaire Générale : Nessrine AYOUB
• Trésorier : Rafik ZOUARI
• Site web : www.tunaction.org/fr
• E-mail: contact@tunaction.org
Association des Étudiants Tunisiens à Québec
L’Association des Étudiants Tunisiens à Québec est une association socioculturelle à but non lucratif qui organise des activités culturelles, sociales et sportives au profit des Tunisiens.
• Président : Yasser HAMDI
• Vice-président et trésorier : Slim HAFAIEDH
• Site Web : www.aetq.tripod.com
• E-mail: a-e-t-q-@caramail.com
Association des Tunisiens des Grandes Ecoles (ATUGE)
L’Association des Tunisiens des Grandes Ecoles est une association à but non lucratif, indépendante et apolitique,
Créé en 1990, elle regroupe plus de 3500 personnes, l’ATUGE regroupe à la fois, des étudiants, des jeunes diplômés et des anciens des grandes écoles françaises.
Avec une présence à Tunis, Paris et Londres, L’ATUGE anime un réseau international.
ATUGE Tunis
• Président : Mehdi GUEDDAS
• Vice-président : Amine ALOULOU
• Secrétaire général : Walid KALBOUSSI
ATUGE France
• Président : Maher BARBOURA
• Vice-président : Bechir TOURKI
• Secrétaire général : Sofiane CHOUAYAKH
• Site web : www.atuge.org
Association des Jeunes Entrepreneurs Tunisiens au Canada
L’association des Jeunes Entrepreneurs Tunisiens au Canada regroupe les jeunes tunisiens résidants au Canada autour d’une idée commune: Entreprendre en Tunisie, Entreprendre pour la Tunisie. Ayant dans l’esprit cette idée, notre association œuvre afin de contribuer à promouvoir l’économie tunisienne auprès des jeunes, les inciter à investir en Tunisie et les motiver pour qu’ils contribuent à promouvoir l’image du produit tunisien à l’étranger.
• Site Web : www.ajetc.ca
Association Scientifique Tunisienne à l’Université Laval (ASTUL)
L’ASTUL, une association scientifique à but non lucratif vise à épauler et guider les étudiants et les chercheur(e)s tunisien(ne)s à l’Université Laval et toute autre personne désirante de bénéficier de ses services et participer à ses activités.
• Président : Mohamed Mahjoub LANGAR
• Secrétaire général : Sami ZHIOUA
• Trésorier : Mohamed Khalil BEN SALEM
• Site Web : www.ulaval.ca/astul/
• E-mail: astul@asso.ulaval.ca
• Site Web : www.actif-assoc.org/E-mail: actif.assoc@gmail.com
Association Réseau des Compétences tunisiennes en Allemagne
Le “Réseau des compétences tunisiennes en Allemagne” est une association à but non lucratif, indépendante et apolitique, fondée par des cadres, des experts, entrepreneurs et chercheurs tunisiens résidents en Allemagne regroupés pour l’intérêt de la Tunisie.
• Site Web : www.tunicom.net
Sources :
• Article « Les associations de Tunisien nés à l’étranger : D’où vient-on ? Où va-t-on ? » Publié par menzelbourguiba-ex-ferryville.over-blog.fr
• http://www.social.gov.tn/
