L’association pour la promotion du droit à la différence ADD e ses partenaires ACD et ADO+ ont organisé 6 février une conférence de presse durant laquelle ils ont clôturé le projet Action Citoyenne des femmes et des jeunes pour une meilleure prévention contre la radicalisation à Douar Hicher et Zarzouna.
Ce projet de 15 mois (novembre 2016 – février 2018) a l’objectif de promouvoir l’intégration des femmes et des jeunes dans la vie publique et promouvoir leur participation à la prise de décision dans un environnement social sans violence ni radicalisation. Soutenu par l’Entité des Nation Unies pour l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes ONU Femmes, ce projet a été effectué à Douar Hicher et Zarzouna, deux communautés des plus denses, mais aussi des plus pauvres et des plus marginalisés.
Avec le manque de mécanismes de prévention contre la radicalisation et la violence, le projet ACPR vise à instaurer une véritable participation efficace entre l’état, les acteurs de la société civile, les femmes et les jeunes dans ces régions. Observant l’impact positif qu’a eu ce projet sur les jeunes et les adolescents de Zarzouna et Douar Hicher, les citoyens appellent à la continuité des activités de ce projet car ça présente un bon encadrement aux jeunes de ces régions.
Dans ce même cadre, une étude «le processus des facteurs majeurs de la radicalisation des jeunes à Zarzouna et Douar Hicher » a été mené par l’association. Avec 450 personnes interrogées, l’étude met en évidence l’importance des facteurs sociaux, économiques, culturels et urbanistiques dans la propagation ou la prévention de la radicalisation des jeunes.
L’étude « le processus des facteurs majeurs de la radicalisation des jeunes à Zarzouna et Douar Hicher» est visible à travers ce lien
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