Le projet s’articule autour de quatre axes principaux, à savoir :
Depuis la Révolution de janvier 2011, la Tunisie s’est engagée dans une transition vers un système de gouvernance démocratique, qui impose au secteur de la sécurité de s’adapter afin de se mettre au diapason des exigences de l’Etat de droit et des citoyens. Cette mutation traduit un changement de paradigme pour les forces de sécurité intérieure, à travers le passage d’une police au service d’un régime autocratique à une police au service de la population et soumise à l’obligation de rendre compte de son action et régie par les principes des droits de l’Homme, de responsabilité et de transparence.