13 ماي 2018 Il y a 7 ans
La Tunisie est un pays à revenu intermédiaire avec une population tunisienne de 10,982 754millions d’habitants dont un tiers a moins de 25 ans et 9 pour cent plus de 60 ans. La proportiondes 15-29 ans est de 28 pour cent. Le taux de croissance annuel est de 1,03 pour cent et l’indicesynthétique de fécondité est de 2,15. Deux tiers des tunisiens vivent en zone urbaine. Le tauxde pauvreté est de 15,5 pour cent avec de fortes différences entre le Nord et l’Est (autour de 10 pour cent) et le Sud et l’Ouest (de 18 à 32 pour cent). Le taux de chômage est de 15,2 pour cent, plus élevé chez les 15-29 ans (35,2% en 2012) , les femmes (24,2% en 2012) , les diplômés du supérieur (33,2%) et dans les régions défavorisées (20,7% au centre-ouest et 25,7% au sud).
D’après le recensement général de la population de 2014 , le nombre total d’analphabètes est de 1718000, soit un taux d’analphabétisme de 18,8%. Les disparités régionales sont importanteset concernent les régions du Centre-ouest et du Nord-ouest et plus particulièrement les zones rurales de ces régions. Le nombre de femmes analphabètes est le double des hommesanalphabètes. Le taux d’analphabétisme était respectivement de 25% chez les femmes et de 12.3% chez les hommes en 2014. L’analphabétisme féminin pourrait constituer un véritableobstacle au développement sanitaire en raison de l’importance de l’éducation des femmes pourla promotion de la santé et plus particulièrement pour la promotion de la santé maternelle et infantile.
L’offre publique de services de santé reproductive est assurée par un réseau d’environ 2100centres de santé, 33 centres régionaux de santé de la reproduction, 108 maternités périphériques,33 maternités régionales et 13 maternités universitaires. L’offre de services de santé sexuelle etreproductive, y compris pour les jeunes est inégalement répartie et insuffisamment intégréedans le système de soins du pays. La caisse nationale d’assurance maladie ne prend pas encharge toutes les composantes de la santé sexuelle et de la reproduction et la liste des services nécessaires en santé sexuelle et de la reproduction appelle à une mise à jour. La réforme dusystème d’assurance maladie n’assure pas la couverture des citoyens ne disposant pas d’unrégime de protection sociale (chômeurs, personnes âgées) qui représenteraient entre 8% (estimation du Ministère des affaires sociales) et 21, 7% de la population (enquête INS consommation des ménages 2010).
Dès l’indépendance, la mise en œuvre d’une politique généralisée de planning familial et l’intégration de la santé maternelle, reproductive et infantile aux programmes nationaux desanté ont contribué à la baisse de la fécondité et à l’accroissement de l’espérance de vie à la
naissance. Il y a cependant une multiplicité d’intervenants, avec une coordination limitée, etpeu de consensus autour des services nécessaires de proximité en santé de la reproduction et qui répondent aux choix éclairés de la population. Cela a généré des disparités dans lacouverture et l’accès aux services. La prévalence contraceptive est de 62,5 pour cent. Lesbesoins non satisfaits en contraception atteignent 7 pour cent des femmes de 15 à 49 ans. Ce taux varie selon les régions et atteint même12 pour cent dans les régions du Centre Ouest et du Centre Est. Ce taux est plus élevé chez les plus jeunes, respectivement 16 et 12 pour cent dansles tranches d’âge de 20-24 ans et 25-29 ans.
Le taux de mortalité maternelle est de 44,8 pour 100000 naissances vivantes. Il est plus élevé au Nord-Ouest (67), au Sud Est (57) et au Centre-Ouest (56). Avec ce chiffre, la Tunisien’atteint pas la cible du cinquième objectif du millénaire pour le développement. La prévalencedu VIH/SIDA est inférieure à 0,1 pour cent, plus importante chez les populations clés: hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (9,1 pour cent), utilisateurs de drogues injectables(3,9 pour cent) et travailleurs/ses du sexe (0,94 pour cent). Ceci nous amène à parler d’épidémieconcentrée chez les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes et les usagers de drogue injectable
Environ 48 pour cent des femmes âgées de 18 à 64 ans ont subi au moins une forme de violence au cours de leur vie. Il existe bien des dispositions législatives et une stratégie nationale de luttecontre les violences à l’égard des femmes, mais des écarts importants demeurent en pratiqueentre la législation et sa mise en œuvre. Les insuffisances concernent en particulier la coordination intersectorielle et le système de référence, le système d’information, et la qualitédes services offerts. Les réserves spécifiques de la Tunisie à la CEDAW ont été levées en avril2014, mais la déclaration générale est maintenue. En 2013, le Comité pour l’élimination des discriminations à l’égard des femmes avait réitéré son appel à l’État pour retirer toutes sesréserves à la CEDAW, adopter une loi criminalisant toutes formes de violence contre les femmes et garantir aux victimes protection et réparation.
Environ 48 pour cent des femmes âgées de 18 à 64 ans ont subi au moins une forme de violence au cours de leur vie. Il existe bien des dispositions législatives et une stratégie nationale de luttecontre les violences à l’égard des femmes, mais des écarts importants demeurent en pratiqueentre la législation et sa mise en œuvre. Les insuffisances concernent en particulier la coordination intersectorielle et le système de référence, le système d’information, et la qualitédes services offerts. Les réserves spécifiques de la Tunisie à la CEDAW ont été levées en avril2014, mais la déclaration générale est maintenue. En 2013, le Comité pour l’élimination des discriminations à l’égard des femmes avait réitéré son appel à l’État pour retirer toutes sesréserves à la CEDAW, adopter une loi criminalisant toutes formes de violence contre les femmes et garantir aux victimes protection et réparation.
Constitué de 16 Agences, Fonds et Programmes présents en Tunisie, le système des Nations Unies (SNU) fournit au pays un appui dans des domaines divers (santé, lutte contre la pauvreté, protection sociale, VIH/Sida, promotion de l’égalité de genre, population et développement durable, bonne gouvernance, …etc) pour le soutenir dans ses efforts de développement.Tendant globalement vers un accompagnement en vue de la réalisation des Objectifs du Développement Durable, les actions et interventions des agences du SNU se font toutes enréférence à un cadre commun de résultats portant sur une période quinquennale, en l’occurrence le Plan Cadre des Nations Unies pour l’Aide au Développement (UNDAF). L’UNFPA est l’unede ces agences des Nations Unies qui œuvre en faveur du droit à la santé et de l’égalité deschances de chacune et chacun, homme, femme et enfant et dont la présence en Tunisie remonte à 1974. Son actuel et neuvième cycle de coopération (2015-2019) s’inscrit dans une démarche
de convergence de l’appui au développement apporté par le système des Nations Unies tel que préconisé par l’UNDAF.
A travers des partenariats multiples et diversifiés associant aussi bien les institutions gouvernementales que la société civile, l’UNFPA offre son appui au pays pour utiliser les données démographiques dans la formulation des politiques et des programmes visant à réduire la pauvreté et pour faire en sorte que toutes les grossesses soient désirées, que tous les accouchements soient sans risques et que tous les jeunes atteignent leur plein potentiel.
L’évaluation à mi-parcours du Programme de Pays vise principalement à renforcer la redevabilité du Bureau de Pays par rapport à la pertinence et la performance du Programme vis- à-vis des donateurs, partenaires et parties prenantes et de tirer des enseignements et identifier des bonnes pratiques pour servir de référence dans la suite de la deuxième phase de mise enœuvre du programme pays 2015 – 2020 et dans la conception des prochains cycles de programmation, tout en considérant le nouveau plan stratégique de l UNFPA .
Les objectifs spécifiques de l’évaluation à mi-parcours sont les suivants :
L’évaluation à mi-parcours du Programme de Pays tient compte des interventions, réalisations et résultats du programme en relation avec les principales composantes du Programme de Pays à savoir :
Population et Développement.
La période étudiée dans le cadre de cette évaluation correspond à la période de conception etde mise en œuvre du programme. En effet, les dates de début et de fin sont comme suit : de janvier 2015 à décembre 2017. L’évaluation ciblera principalement le niveau central où sontbasés tous les partenaires gouvernementaux et non gouvernementaux.
5.1 Niveau d’analyse et critères de l’évaluation:
Deux principaux niveaux d’analyse sont pris en compte dans l’évaluation à mi-parcours du Programme de Pays : (i) analyse programmatique et (ii) analyse du positionnement stratégique. A chaque niveau sont attribués des critères d’évaluation permettant d’orienter l’analyse par rapport aux différents aspects et sous une variété d’angles de vue. En effet, l’analyse programmatique sera conduite sous les quatre critères : (i) pertinence, (ii) efficience, (iii) efficacité et (iv) durabilité. De l’autre côté, deux critères seront appliqués à l’analyse du positionnement stratégique : (i) coordination avec l’Equipe du Pays des Nations Unies (UNCT) et (ii) la valeur ajoutée de UNFPA
5.2 Questions d’évaluation :
Les questions de l’évaluation permettent de concentrer l’analyse et de définir la ligne d’enquête que l’évaluation doit suivre. Elles sont classées en fonction desphases du programme (conception, processus de mise en œuvre et résultats) auxquelscorrespond chacun des quatre principaux critères (pertinence, efficience, efficacité et durabilité) avec une attention accordée aux aspects relatifs au positionnement stratégique notamment lacoordination avec l’UNCT et la valeur ajoutée à travers le programme.
5.2.1 Niveau de conception :
pertinence et réactivité. Dans quelle mesure l’appui du Bureau dePays dans les domaines que couvre son programme est-il (i) conforme au business model et aligné à son plan stratégique, (ii) adapté aux besoins de la population cible et du pays (iii) en ligne avec le mandat et la stratégie de UNFPA et (iv) répond-il aux priorités nationales exprimésdans l’UNDAF et son plan d’action commun? Est-ce que les interventions prévues reflètent adéquatement les résultats attendus du Programme de Pays? De manière dynamique, comment le bureau de pays a-t-il su s’adapter à l’évolution des besoins des populations cibles(Adolescents/jeunes et femmes) dans la planification et la mise en œuvre de toutes lesinterventions appuyées dans le cadre du Programme ?
5.2.2 Niveau de processus :
efficience. Dans quelle mesure le Bureau de Pays a-t-il fait bon usage de ses ressources financières, humaines, matérielles et techniques et a utilisé une combinaison appropriée d’outils et d’approches dans la réalisation des résultats définis dans le Programme de Pays?
5.2.3 Niveau des résultats :
efficacité. Dans quelle mesure les interventions soutenues par le Bureau de Pays ont-elles contribuées (ou sont susceptibles de contribuer) à la réalisation des produits inscrits: (i) Appui au dialogue politique pour développer et intégrer un paquet essentiel de services de santé sexuelle et reproductive de qualité pour les femmes et les jeunes dans les zones ciblées.; (ii) Capacités renforcées des décideurs nationaux et des organisations de la société civile, pour faire progresser les droits reproductifs et promouvoir l’égalité de genre ; (iii) Plaidoyer fondé sur des recherches/études pour alimenter les politiques nationales dans les domaines de la dynamique de population, de santé sexuelle et reproductive et de droits reproductifs, du VIH, des adolescents et des jeunes et de l’égalité de genre. Dans quelle mesure les interventions appuyées à travers le Programme de Pays ont-elles contribué à l’atteinte des résultats (produits, indicateurs et effets) de l’UNDAF.
5.2.4 Niveau de durabilité.
Dans quelle mesure le Bureau de Pays a-t-il pu soutenir ses partenaires en termes de développement des capacités et appui dans l’établissement de mécanismes pour assurer l’appropriation et la durabilité des acquis et effets de ses interventions?
5.2.5 Coordination avec l’UNCT.
Dans quelle mesure le Bureau de Pays a-t-il contribué au bonfonctionnement de l’UNCT et les autres instances de gouvernance de l’UNDAF (Groupes derésultats, task force) ?
5.2.6 Valeur ajoutée.
Quelle est la valeur ajoutée apportée par le Bureau de Pays au niveau national dans les différents domaines relevant de son mandat telle que perçue par les parties prenantes nationales? Quels sont les avantages comparatifs de UNFPA en Tunisie,particulièrement vis-à-vis des autres agences des NU et prenant en considération l’approche pour l’initiative « Unis dans l’Action » ou «Delivering as One».
5.2.7 Phase 2 du programme :
Comment la phase 2 du programme pays 2018-2020 pourraitêtre alignée au nouveau plan stratégique de l’UNFPA 2018-2021 ?quels sont les principales orientations/interventions stratégiques que le programme pays devra prendre dans sa phase 2 prenant en considération le nouveau plan stratégique de l UNFPA et les ODDs en relation avec la CIPD
L’évaluation se déroulera en cinq principales phases : (i) préparation ; (ii) Démarrage (conception) ; (iii) Collecte de données sur le terrain, (iv) analyse et reporting et (v) dissémination et suivi.
Phase de préparation : il s’agit d’une phase préliminaire incluant
La sélection et le recrutement du/de la consultant(e).
Phase de démarrage : Cette phase est dédiée à la structuration du processus d’évaluation.L’équipe de suivi de l’évaluation (staff de l’UNFPA chargé du suivi de la RMP et consultant) doit également sélectionner l’échantillon de parties prenantes à rencontrer au cours de la phase de terrain. Il s’agit en effet de mener les taches suivantes :
Phase de terrain : Cette phase consiste en une mission sur le terrain afin de collecter et analyserles données nécessaires pour répondre aux questions de l’évaluation.
A l’issu de cette phase, l’évaluateur/ice devrait avoir les premières analyses des donnéesrecueillies, les résultats préliminaires et les conclusions et recommandations provisoires. A lafin de cette phase l’évaluateur/ice fera une présentation des résultats préliminaires tirés de l’enquête de terrain et ce dans une réunion de restitution en présence de l’équipe interne de suivide l’évaluation en vue de valider les résultats préliminaires et discuter les propositions deconclusions et recommandations.
Phase d’analyse et de reporting : Durant cette phase, l’évaluateur/ice continuera le travail d’analyse des données initié dans la phase de terrain et préparera le projet de rapport final en tenant compte des remarques et commentaires émis par le Bureau de Pays lors de la réunion de débriefing à la fin de la phase de terrain. Le projet de rapport de l’évaluation est soumis l’équipe d’évaluation pour revue.
A l’issue de ce processus et après la revue du projet de rapport en fonction des commentaires et remarques de l’équipe, l’évaluateur/ice soumettra la version révisée du rapport final et qui
sera présenté dans l’atelier de partage de résultats de l’évaluation qui regroupera le Bureau dePays et toutes les parties prenantes clés du programme. La version finale du rapport devra êtresoumise dans les jours qui suivent l’atelier au Bureau de Pays en tenant compte des remarques et commentaires des participants.
Une note méthodologique de l’évaluation : elle devra être soumise lors de la déposition de candidature. Elle présentera le contexte du pays, le programme et la réponse stratégique del’UNFPA, la logique d’intervention du programme (théorie de changement), l’approche et la méthodologie de l’évaluation et le processus de collecte et d’analyse des données. Par ailleurs,ce document servira comme document de consensus entre l’équipe de suivi de l’évaluation. L’approbation formelle de la note méthodologique par le Bureau de Pays est exigée avant depasser à la phase de terrain.
Projet de rapport d’évaluation: L’ébauche du rapport d’évaluation sera un document nedépassant pas 50 pages au maximum. Le rapport présentera principalement (i) les résultats formulés comme des réponses aux questions d’évaluation, (ii) les conclusions découlant des résultats, (iii) les recommandations et les annexes dont notamment les TDRs, la liste des personnes/institutions rencontrées et la liste des documents consultés. Le rapport présentera également le but, les objectifs, la portée et la méthodologie de l’évaluation, et donnera un aperçu sur le contexte du pays et le Programme de Pays de UNFPA. Le projet de rapport sera partagéavec le Bureau de Pays de l’UNFPA, pour une première revue, la deuxième ébauche incluant les commentaires de l’équipe de suivi de l’évaluation sera ensuite présentée lors l’atelier de partage des résultats avec les partenaires d’exécution, les donateurs, l’équipe de pays des Nations Unies en Tunisie ainsi que d’autres parties prenantes concernées.
Rapport final d’évaluation : La version finale du rapport comprendra également un résumé analytique de 3 à 4 pages et prendra en compte les commentaires et recommandations desparties prenantes et partenaires retenus à l’issue des discussions qui auront lieu lors de l’atelier de dissémination. La version finale du rapport n’est considérée comme livrable final qu’après son approbation par l’UNFPA.
Le/La consultant(e) assumera la responsabilité globale du processus d’évaluation. Il/elle doit, à cet effet, avoir l’expertise technique requise dans l’un des trois domaines : Santé sexuelle etReproductive; Genre et lutte contre la Violence Basée sur le Genre et Dynamique de Population.
A. Rôle et responsabilité de l’évaluateur/ice :
Les supports et outils de travail au cours des entretiens et ateliers ainsi que les rapports seront développés en langue française
SOUMISSION DES OFFRES
Cet appel à consultation est ouvert aux consultants nationaux. L’offre technique doit comporterles éléments suivants :
Un CV (mettant en valeur les expériences et compétences en lien avec l’appel à consultation).
Le montant des honoraires sera effectué en 3 tranches comme suite :
– Plan cadre de Nations Unies pour l’Aide au Développement (UNDAF) 2015-2019 ; – Plan d’action commun de l’UNDAF 2015-2019 ;
– Bilan commun du pays 2014 ;
– Rapports de revues annuelles de l’UNDAF ;
– Document du 9ème Programme de Pays-Tunisie 2015-2019 ;
– Cadre de S&E, Cadre de Résultats et des Ressources, de l’UNFPA
– Plans de Travail annuels ;
– Rapports annuels du Bureau de Pays (COAR) ;
– Rapports de dépenses financières (FACES) ;
– Rapports de progrès des Plans de Travail annuels ;
– Rapports d’audit ;
– Rapports de Micro-Evaluation des IP ;
Rapports d’évaluation de certaines activités
– Documents stratégiques : Rapports des enquêtes pertinentes en relation avec les domaines couverts par le Programme de Pays, Plan de développement 2016-2020, programme conjoint en santé maternelle et néonatale, Ministère de la Santé ; programme conjoint sur suivi, évaluation et reporting sur les ODDs, programme conjoint sur la lutte contre les VFG, ; Plan Stratégique National de Lutte contre le SIDA 2012-2016, Ministère de la Santé ;
– RÉSUMÉ
– Chapitre 1 : Introduction
– 1.1 objectifs de la revue à mi-parcours du programme de pays
– 1.2 Portée de la revue
– 1.3 Méthodologie et processus
– CHAPITRE 2: Contexte national
– 2.1 Défis de développement et stratégies nationales
– 2.2 Le rôle de l’appui externe
– CHAPITRE 3: Réponses des Nations Unies et de l’UNFPA et stratégies de programme- 3.1 Réponse du SNU et de l’UNFPA
– 3.2 Réponse de l’UNFPA à travers le programme de pays
– 3.2.1 Brève description de la stratégie, des objectifs et des réalisations du cycle précédant decoopération de l’UNFPA
– 3.2.2 Programme de pays actuel de l’UNFPA
– 3.2.3 La structure financière du programme
– CHAPITRE 4: Résultats: réponses aux questions d’évaluation
X – CHAPITRE 5: Conclusions
– 5.1 Niveau stratégique
– 5.2 Niveau programmatique
– CHAPITRE 6: Recommandations
– ANNEXES
– Annexe 1 Termes de référence
– Annexe 2 Liste des personnes / institutions rencontrées – Annexe 3 Liste des documents consultés
– Annexe 4 La matrice d’évaluation – Annexe 5 Outils méthodologiques
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