Le Laboratoire a l’immense plaisir de vous convier à la rencontre annuelle co-organisée à l’occasion de la journée des Nations Unies par le LR-DIERME et par l’Association tunisienne pour les Nations Unies (avec le soutien de la Fondation Hanns Seidel).
Cette rencontre sera organisée le mercredi 26 octobre à partir de 14h à la Faculté des sciences juridiques, politiques et sociales de Tunis (Salle Dali Jazi) et portera sur « LES NATIONS UNIES DEVANT UN MONDE D’INCERTITUDES ».
CONTEXTE
La pandémie de la COVID 19, la crise environnementale et la guerre en Ukraine ont multiplié les risques et les dangers que la communauté internationale est appelée à relever. Avec les foyers de tension qui ne cessent de se multiplier en Afrique et en Asie, le conflit d’envergure que connaît actuellement l’Europe menacent la paix et la sécurité mondiales, en touchant plusieurs pays tant sur le plan sécuritaire stricto sensu qu’au niveau alimentaire, énergétique, environnemental, de développement, etc. En juin 2022, le nombre de personnes en situation de précarité alimentaire aiguë a atteint 345 millions vivant dans 82 pays (chiffres du PAM), laissant poindre la perspective d’un hiver de souffrances et de tensions sociales.
Mais alors que plus que jamais le Conseil de sécurité est appelé à jouer son rôle d’organe principal chargé de maintenir la paix et la sécurité internationales, il est paralysé par le veto russe. Cette situation de blocage qui s’est présentée à plusieurs reprises dans l’histoire de l’institution, et causée par l’usage d’un des cinq membres permanents du Conseil de sécurité de son droit de veto, a remis sur la table la question de la composition du Conseil et de son fonctionnement. C’est ainsi que de nouveau des voix s’élèvent pour
réclamer la réforme de cet organe ainsi que de celle des institutions financières
internationales, et ce afin de permettre à l’ONU — dont tous les pays viennent à l’occasion de la présente session de l’Assemblée Générale de confirmer l’importance et le rôle crucial— de mieux épouser son époque.
La pandémie de la COVID 19, la crise environnementale et la guerre en Ukraine ont multiplié les risques et les dangers que la communauté internationale est appelée à relever. Avec les foyers de tension qui ne cessent de se multiplier en Afrique et en Asie, le conflit d’envergure que connaît actuellement l’Europe menacent la paix et la sécurité mondiales, en touchant plusieurs pays tant sur le plan sécuritaire stricto sensu qu’au niveau alimentaire, énergétique, environnemental, de développement, etc. En juin 2022, le nombre de personnes en situation de précarité alimentaire aiguë a atteint 345 millions vivant dans 82 pays (chiffres du PAM), laissant poindre la perspective d’un hiver de souffrances et de tensions sociales.
Mais alors que plus que jamais le Conseil de sécurité est appelé à jouer son rôle d’organe principal chargé de maintenir la paix et la sécurité internationales, il est paralysé par le veto russe. Cette situation de blocage qui s’est présentée à plusieurs reprises dans l’histoire de l’institution, et causée par l’usage d’un des cinq membres permanents du Conseil de sécurité de son droit de veto, a remis sur la table la question de la composition du Conseil et de son fonctionnement. C’est ainsi que de nouveau des voix s’élèvent pour
réclamer la réforme de cet organe ainsi que de celle des institutions financières
internationales, et ce afin de permettre à l’ONU — dont tous les pays viennent à l’occasion de la présente session de l’Assemblée Générale de confirmer l’importance et le rôle crucial— de mieux épouser son époque.
PROGRAMME
14H00: SÉANCE D’OUVERTURE : ACCUEIL ET MOTS DE BIENVENUE
PRÉSIDENCE: MME LA DOYENNE NEILA CHAABANE
PRÉSIDENCE: MME LA DOYENNE NEILA CHAABANE
– Pre Neila Chaabane, Doyenne de la Faculté des sciences juridiques, politiques et sociales de Tunis.
– S.E. Moncef Baati, Président de l’Association tunisienne pour les Nations Unies.
– Pre Salwa Hamrouni, Professeure à la Faculté des sciences juridiques, politiques et sociales de Tunis et Directrice du LR en droit international, européen et relations Maghreb-Europe.
– S.E. Arnaud Perral, Représentant résident des Nations Unies en Tunisie.
– Mme Uta Staschewski, Déléguée régionale de la Fondation “Hanns Seidel” au Maghreb.
– S.E. Othman Jerandi, Ministre des Affaires étrangères, de la migration et des Tunisiens à l’étranger.
– S.E. Moncef Baati, Président de l’Association tunisienne pour les Nations Unies.
– Pre Salwa Hamrouni, Professeure à la Faculté des sciences juridiques, politiques et sociales de Tunis et Directrice du LR en droit international, européen et relations Maghreb-Europe.
– S.E. Arnaud Perral, Représentant résident des Nations Unies en Tunisie.
– Mme Uta Staschewski, Déléguée régionale de la Fondation “Hanns Seidel” au Maghreb.
– S.E. Othman Jerandi, Ministre des Affaires étrangères, de la migration et des Tunisiens à l’étranger.
14H40 : SÉANCE : LES NATIONS UNIES DEVANT UN MONDE D’INCERTITUDES
MODÉRATION : MADAME LA PROFESSEURE SALWA HAMROUNI
MODÉRATION : MADAME LA PROFESSEURE SALWA HAMROUNI
-Les pays en développement face à la crise alimentaire et énergétique : S.E. Moncef Baati, Président de l’Association tunisienne pour les Nations Unies (ATNU).
– Les Nations Unies et les incertitudes sécuritaires : Pr. Haykel Ben Mahfoudh, professeur à la Faculté des sciences juridiques, politiques et sociales de Tunis et Directeur de la Mission universitaire de Tunisie en Amérique du Nord (par vidéoconférence).
– L’avenir de l’Organisation des Nations Unies : S.E. Ahmed Ounaies, ancien ministre des affaires étrangères et président honoraire de l’ATNU.
– Les Nations Unies et les incertitudes sécuritaires : Pr. Haykel Ben Mahfoudh, professeur à la Faculté des sciences juridiques, politiques et sociales de Tunis et Directeur de la Mission universitaire de Tunisie en Amérique du Nord (par vidéoconférence).
– L’avenir de l’Organisation des Nations Unies : S.E. Ahmed Ounaies, ancien ministre des affaires étrangères et président honoraire de l’ATNU.
DÉBAT ET COCKTAIL DE CLÔTURE