“BLADI – Building Local Associations for Development and Innovation” est un programme de renforcement des capacités des acteurs de la société civile tunisienne mis en place depuis 2019 ayant comme objectif de favoriser une participation et un engagement plus efficaces des citoyens afin de contribuer à la mise en place d’une citoyenneté active.
Ce projet phare a pris fin en décembre 2020. Une cérémonie de clôture a été organisée en ligne à l’occasion, pour mettre la lumière sur les principaux résultats de travail développés dans 7 différents gouvernorats de la Tunisie depuis plus de 2 ans. Onze associations ont été mises à l’honneur pour présenter leurs projets, leurs expériences et les défis rencontrés.
Le discours d’ouverture a rendu hommage à tous les participants, l’équipe organisatrice et aux partenaires et a aussi compris une récapitulation du parcours d’accompagnement technique, en matière de communication et réseautage du projet, sans oublier la mise en valeur du suivi et évaluation des résultats et du progrès des associations.
La conférence comportait plusieurs panels, le premier était autour des « espaces artistiques, lieux pour et par les jeunes » où s’est mené un court débat avec l’intervention de l’association « Mash’hed » de Gafsa, l’association tunisienne de théâtre d’enfants et des jeunes de Agareb et l’association « khotwa » de Manouba.
« Centres de défense et d’intégration sociale pour une meilleur inclusion des jeunes menacés de rupture sociale » était l’objet du deuxième panel, où les représentants de chacun des associations « espoir d’enfance » de Gabès et médenine et « graines d’espoir » de sfax, ont rejoint la discussion pour présenter divers faits et résultats obtenu lors de ce projet.
Les modérateurs ont aussi consacré un autre panel pour discuter comment le développement des compétences professionnelles peut être un levier pour l’emploi, en donnant la parole aux représentants des associations « Afek » de Blidet et « commerçants de Ben guerdane » de Médenine.
Quant au dernier panel intitulé « les clubs au sein des établissement scolaires, un instrument d’éducation non formelle », le débat s’est déroulé entre des intervenants de l’association « Kon sadiki », l’association « Soutkom », l’association renouvellement et appartenance et l’association de culture et éducation de la citoyenneté.
Ces courts débats fructueux ont insisté sur l’inclusion des jeunes dans les espaces culturels et l’importance de la continuité des activités pour sensibiliser, protéger et libérer ces jeunes talents de l’influence négative de leurs milieux et leur ouvrir de nouvelles perspectives.
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